De Diaboli s’intéresse à la figure ambivalente du diable et à ses enjeux contemporains, notamment par le biais d’un questionnement sur l’Intelligence Artificielle (IA). La pièce est portée par trois interprètes et un chien robot, qui va entrer en interaction avec les spectateurs. Dans un flirt halluciné entre les diableries du XVe siècle et un épisode de Black Mirror, De Diaboli cherche à inventer un sabbat pour le temps présent.
CONCEPTION, CRÉATION, TEXTES, INTERPRÉTATION :
CHRISTINE ARMANGER
interprétation : Suzanne Henry, Clémentine Vanlerberghe
Création lumières et régie : Thomas Cany
production [Compagnie Louve]
co-productions : CCN de Caen dans le cadre de l’accueil-studio 2024,
Paris réseau danse (Atelier de Paris, Etoile du Nord, micadanses, Regard du Cygne)
Scène de recherche - ENS Paris-Saclay, Centre des Arts d’Enghien-les-Bains
AVEC LE SOUTIEN DE La Chartreuse - CNES de Villeneuve-lez-Avignon,
du Théâtre de l’Étoile du Nord, de Chorège | CDCN Falaise
AVEC L'AIDE AU PROJET DANSE DE LA
DRAC ILE-DE-FRANCE
AVEC L'AIDE À LA RÉSIDENCE LABORATOIRE
DE LA VILLE DE PARIS